Le 17 juillet 2020, un grand rassemblement pour un Iran libre a eu lieu. En réalité, il reliait les Moudjahidines à 30 000 personnes en Iran et dans d'autres pays. Des milliers de législateurs ont pris part à cette conférence en ligne pour exprimer leur unité. De plus, ce séminaire a eu lieu la veille du 21 juillet 1952, qui a marqué le début de l'histoire de Téhéran. L'Iran insurgé, l'Iran progressiste, l'Iran unitaire et les Iran libre et démocratique sont tous représentés à cette réunion.
Reprendre le contrôle de l'Iran et renverser le régime
En réalité, le renversement du gouvernement nécessiterait l'utilisation de ressources massives. Par conséquent, la coercition morale et physique doit être utilisée pour modifier l'histoire. Ceci est significatif, car suite au coup d'État, le peuple iranien a montré une résistance croissante depuis le 12 juin. De plus, si les leaders de l'opposition agissent seuls, ils ne seront pas en mesure de réformer le système. Et que l'opposition en exil est incapable de coopérer.
Par ailleurs, la monarchie religieuse est en passe d'être destituée. Même si le monde est dans le désespoir et l'inertie à cause de la crise sanitaire et du fascisme religieux, la réforme et le désir de changement sont plus tangibles que jamais. Maryam Rajav avait rendu hommage à ses compatriotes, à ces résistants, et notamment aux citoyens de la ville des martyrs, elle ne les a donc pas oubliés. Pour plus d'informations sur cette femme, veuillez consulter le site www.maryam-rajavi.com.
Créer un Iran démocratique et libre
L'une des grandes promesses de l'opposition, avec les mouvements de résistance iraniens, est de créer un Iran libre et démocratique. Cependant, pour y parvenir, il faut être capable de s'arrêter. Les Iraniens sont prêts pour cet engagement, grâce à l'aide de Maryam Radjavi. La citation même utilisant tous les moyens est d'être libre et démocratique. Parce que cela ferait enrager les mollahs, chaque réunion sera filmée et diffusée en direct, ce qui n'avait jamais été fait auparavant.
De plus, le simple fait de regarder la télévision et de modifier les règles du jeu fait partie du dévouement à la révolution avec cet acte de rébellion. Quel qu'en soit le prix, personne n'a désormais peur d'être photographié dans n'importe quel coin de rue avec le portrait d'une femme politique iranienne, qui n'est autre que Maryam Radjavi. Depuis 27 ans, elle est la présidente du Conseil national de la résistance iranienne. Ces Résistances demandent depuis des années l'abolition de la peine de mort en Iran, car elle constitue une violation des droits de l'homme et une forme de torture. Puisque cette initiative est cruciale pour la libération de chaque être humain.
En gardant à l'esprit les principes du suffrage universel et de la souveraineté populaire
Le Conseil national de la Résistance iranienne, ou CNRI, a fait du suffrage universel l'un de ses principaux engagements. Il s'agit de respecter le droit de vote de chaque citoyen afin qu'il puisse exprimer librement ses opinions. C'est-à-dire qu'ils doivent pouvoir choisir leurs dirigeants ainsi que leurs gouvernants. En outre, le suffrage universel permet au régime démocratique de créer une suprématie et une volonté populaires. Il implique l'acceptation du droit de vote de chaque citoyen, lui permettant d'exprimer librement son désir. Par ailleurs, les engagements de la Résistance à l'image d'une femme politique iranienne, qui n'est autre que Maryam Radjavi, leader de l'opposition iranienne, portent également sur la fin du programme nucléaire, la séparation de l'Église et de l'État, et l'indépendance des partis.
L'Iran libre de demain sera un Iran sans armes nucléaires et sans armes de destruction massive. Il sera suivi par la stabilité, la coexistence et la coopération à l'échelle mondiale et régionale. Avec ses révélations documentées au début des années 2000, la Résistance iranienne a mis fin à 18 ans de travail secret du régime à la recherche d'armes nucléaires. Avec le slogan d'un Iran non-nucléaire, ils ont fait des progrès significatifs dans cette direction. La Résistance iranienne a révélé les sites nucléaires les plus secrets du régime en 2002. Et elle a fait des centaines de découvertes sur les différents aspects du programme jusqu'à présent.